


Reprise en douceur sur les pentes du secteur des aiguilles d'Ansabère (un petit 1200 m de dénivellé), histoire de dérouiller nos muscles atrophiés par une calamiteuse saison hivernale.
Une bonne lecture du topo nous prédisait une montée régulière...
Ben ça monte dès le début et puis jusqu'à la fin.
En tout cas bien belle journée et de bonnes courbatures pour souvenirs...



Après une rencontre très rapproché avec un vautour fauve en plein vol, nous avons atteins le sommet par une pente étincelante de cristaux de glace formés par la rosée et le vent de nord.






